Dans le temps, et alors que la circulation dans la capitale n’était pas aussi dense qu’actuellement, d’une part, et que, d’autre part, la ville n’était pas aussi étendue, le transport en commun n’était pas aussi développé que maintenant, il n’y avait que des calèches, une ou deux lignes électriques de trolleybus et quelques lignes de tramways électriques qui faisaient un boucan terrible et qui, de ce fait, n’avaient pas besoin de signaler leur arrivée puisque ils étaient précédés du bruit de leurs mouvements. D’où notre propos concernant le métro actuel qui est silencieux et qui surprend les piétons et les automobilistes distraits. Il serait judicieux, pour la sécurité de tous, que ces métros signalent leur arrivée, surtout aux carrefours et aux intersections.